BRETHEL BUSCA INCENTIVÁ-LAS COM A
LEITURA DE JORNAIS E REVISTAS.
Guieta et
Joana y ont sans doute perdu.
Il se
préoccupe cependant de leur trouver
quelques
lectures et les aide à comprendre
les journaux de mode et les revues qu’elles
reçoivent et
dont il essaie de leur faire tirer
le meilleur
parti. Mais c’est insuffisant. En 1880
elles ont alors douze et quatorze
ans - elles savent
à peine lire et écrire (221). C’est avec
amertume
qu’ Alexandre
constate le retard pris par ses filles
sur sa nièce
de France qui cette mème anée et avec
seulement
deux ans de plus, est déjà institutrice de
deuxième classe.Alexandre
s’attriste de cette
différence,
mais sa fortune ne lui permet pas
d’envoyer ses
filles faire leur éducation en France
comme il le souhaiterait, ni de les confier à
un
des collèges
réputés de la capitale ou même de
Campos qui, à l’époque, est une ville active
et
brillante. Guilhermina d’ailleurs refuse de se
séparer de
ses filles. Un autre projet, celui de
faire venir
une institutrice, n’aura pas de suite.
Les deux enfants ont cependant passé
plusiers
années
à l’école du bourg, mais de façon
discontinue
puisqu’elles ne la fréquentaient
que
lorsqu’elles allaient passer quelque temps
chez leur grand-mère. On sait d’ailleurs que
les habitudes
brésiliennes dans le domaine
de
l’enseignement étaient peu rigoureuses
et plus
encore pour les filles. Guilhermina
comme Joana
ne devaient pas recevoir de
leur entourage
brésilien une grande incitation
ni beaucoup d’encouragement autravail
intellectuel
.
Alexandre Brethel Pharmacien et Planteur au
Carangola -Françoise Massa-Recherche sur sa
correspondance bresilienne (1862-1901)-p.103.
correspondance bresilienne (1862-1901)-p.103.
Nenhum comentário:
Postar um comentário