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terça-feira, 31 de maio de 2016

A SUINOCULTURA,NO SÉCULO XIX OCUPA LUGAR IMPORTANTE NAS FAZENDAS BRASILEIRAS.

ALEXANDRE ACONSELHA SOBRE TIPOS DE CRIAÇÃO :

-RENTABILIDADE;
-UTILIDADE;
-DEPREDAÇÃO (EX: O PAVÃO NOS TELHADOS ONDE SE EMPOLEIRAM)













“Pour sa subsistance, celle de sa famille et de son personnel Alexandre élevait aussi des volailles et des porcs. Le poulailler était situé près de la maison ce qui le protégeait contre les attaques des animaux. Les résidus de cuisine alimentaient les volatiles : poules, canards et pintades étaient laissés en liberté pendant la journée autour de la maison et les enfants, le soir, allaient les rentrer. A la fin de sa vie, Alexandre fait quelques remarques sur les différentes espèces, leur utilité, leur rentabilité et les dépradations que certains, comme les paons, peuvent faire aux tuiles des toits où ils se perchent. Il conseille donc de s’en tenir aux poules et aux canards et d’acheter à l’extérieur dindons, oies et pintades quand l’envie vous vient d'en manger. L’élevage des porcs a une autre ampleur. Alexandre abat trois hectares de forêt pour leur donner un pré. Làencore notre éleveur a laissé quelques conseils quant au choix des races : porcos curtos, de poucos cabelos, ou melhor, sem nenhum, de cor branca ou parda clara, cabeça pequena, focinho chato, pernas cur- tas. Dans la plupart des fazendas brésiliennes les porcs occupent une place importante et sont l’objet de soins tout particuliers qui ont souvent frappé l’attention des voyageurs.
Van Deldern Laerne écrit avec une certaine causticité : em regra gérai o primeiro comité que ao visitante se faz numa fazenda é o da visita aos chiqueiros. Com visïvel ar de satis- façâo relatam os fazendeiros tudo quanto se référé à manutençâo e alimentaçâo de seus queridos grunhidores (251). En 1873, Alexandre qui élève une centaine de porcs tombe dans le même travers, mais il explique à François Gouzil pourquoi il insiste tant sur son élevage rie Brésil sans cochon est impossible. Toute notre nourriture s'apprête avec la graisse du cochon, nous n’avons pas de beurre ou il est de très mauvaise qualité et en très petite quantité. Aussi Dom Pourceau est notre oiseau bleu, la fin de nos rêves (252). Les fazendeiros de la vallée du Carangola exportaient d’ailleurs du lard et de la graisse de porc. Bien qu’Alexandre ne le dise pas, il est vraisemblable qu’il faisait lui aussi ce commerce. “

Alexandre Brethel Pharmacien et Planteur au Carangola -Françoise Massa-Recherche sur sa  correspondance bresilienne (1862-1901)-p.116.

                                                                                                                                         

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