SISTEMAS DE PESOS E MEDIDAS
Havia três pelo menos no Brasil.Em 1874 se fixou um obrigatório.
Dada às variações tornou a vida do pesquisador muito árdua.
Le problème de la conversion des mesures de longueur, de volume ou de poids
en valeurs actuelles est difficile car il n’y
avait pas d'uniformité dans toute l'étendue du Brésil. Ainsi il y avait
au moins trois systèmes de
poids et de mesures, celui de Minas Gérais et Rio, celui de Sâo
Paulo et celui de Bahia,sans parler des variations malaisées à établir qui existaient
à l'intérieur même de ces trois secteurs dont
la délimitation géographique n'est pas toujours précise. Les mesures
utilisées dans les villes, par exemple,ne
correspondaient pas toujours à
celles utilisées dans l'intérieur. Sur ce sujet voir M.L. Marcílio et L.Lisant,
Problème de
l’histoire quantitative du Brésil : métrologie et démographie, in L’Histoire quantitative du Brésil de 1800 à 1930, Paris, 1973, p. 29. Si cette
complexité qui fait qu'un même nom recouvre des longueurs, des volumes ou des
poids différents avait déjà fait l’objet de discussions au Sénat de l’Empire
qui finit par rendre le système métrique obligatoire en 1874, elle rend de nos jours la tâche plus ardue au chercheur. Il n'est pas
toujours possible, en effet, de savoir à quelle mesure réelle correspond l'alqueire, l'arrobe ou la livre utilisée par
les auteurs traitant d'agriculture ou dans les documents du siècle passé
faisant état de récoltes ou de surfaces. Nous donnons ici les mesures fournies par l’Anudrio do Impérial Observatôrio cité dans le Brésil en 1889, p. 311-313 ainsi que Stein, op. cit. p. 351.
Mesures de surface
L’alqueire dit de Minas Gerais et de Rio équivalait à 4,84
ha, celui de Sâo Paulo n'était que de 2.42 ha, Le pied carrécorrespond à 0,1089 m2.
Mesures de poids
L’arrobe
utilisèe pour peser les denrées agricoles
équivalait à 14,6 kg et ne devait être
que de 14,4 kg à São Paulo .
La livre variait entre 453 g et 459 g.
Mesures de volume
L’aiqueire ,mesure de volume pour les matières sèches, équivalait à Rio à
36,27 litres. A Sâo Paulo,l’aiqueire n’était que de 13,5 litres.
Si aujourd’hui
les textes officiels font état d’hectares et de
kilogrammes, sur le terrain l'actuel propriétaire de S. Joaquim compte encore
en alqueires et en arrobes.
On peut aussi coinsulter le tableau très clair de F. Mauro sur les mesures
portugaises et leur correspondance au Brésil dans le Portugal et l’Atlantique au X VIIe
siècle, Paris, 1960, p. LVI-LVII.
Alexandre Brethel Pharmacien et Planteur au Carangola -Françoise Massa-Recherche sur sa
correspondance bresilienne (1862-1901)-p.109.
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